Kinésiologues formé(e)s à Espace Kinésio, que sont-ils/elles devenu(e)s ?

Témoignages

Kinésiologues formé(e)s à Espace Kinésio, que sont-ils/elles devenu(e)s ?

 

Marylène Rouhling

 

 

EK : Qu’est-ce qui t’a donné envie de te former à la kinésiologie ?

M. : Une amie hypnothérapeute m’avait donné le numéro d’une kinésiologue (dans mon département, à Bourg-Saint-Maurice ?). J’ai mis 3 ans avant de me décider à l’appeler. Ensuite, j’allais la voir une fois par an. Suite à une rupture professionnelle en 2018, j’ai dû me remettre en question. J’ai pris conscience que je voulais faire du bien aux gens, mais sans savoir comment, par quelle(s) technique(s). Je pensais qu’il fallait déjà que je m’aide moi-même, par rapport à mes propres difficultés de vie. Ma kinésiologue m’a dit qu’un parcours de formation en kinésiologie allait me faire en soi beaucoup de bien, et j’ai pu le constater par la suite. J’ai cherché l’école labellisée FEDEK la plus proche de chez moi, et j’ai démarré le cursus à Espace Kinésio à l’automne 2019.

EK : Comment s’est déroulée cette reconversion pour toi ?

M. : J’ai réussi à tout organiser autour de la formation : ma vie familiale (le planning de garde de mes deux enfants) et mon emploi de responsable RH et paie dans une société de 300 salariés. J’ai ainsi jonglé entre mes différentes casquettes de maman, femme, salariée et étudiante en kinésio, enchainant les stages, les pratiques et les contrôles continus. J’ai pu compter sur le précieux soutien de ma sœur et de mon compagnon, mes premiers « cobayes ».

EK : Quel est le module de formation ou la technique qui t’as le plus apporté ?

M. : Avec le stage de constellations familiales animé par Constanz Lang, j’ai « lâché des valises » énormes. Et aujourd’hui, les techniques des 7 dimensions et la physio-kinésiologie sont celles que j’utilise le plus.

EK : Quels sont pour toi les atouts d’Espace Kinésio ?

M. : Les valeurs, d’abord. Une certaine fidélité à l’enseignement bien éprouvé des précurseurs de chaque branche de la kinésiologie, sans avoir cherché à tout réinventer ni à tout présenter dans un emballage marketing. La qualité de l’équipe enseignante, très expérimentée. Et l’environnement des cours, avec des locaux spacieux, fonctionnels et bien équipés en matériel pédagogique.

EK : Tu as passé ton diplôme de kinésiologue en janvier 2022. Qu’est-ce que cela a représenté pour toi ?

M. : D’abord un grand soulagement, car c’était l’aboutissement d’un parcours exigeant de 3 ans, avec un investissement émotionnel, financier et familial important. Je révisais bien entre chaque stage, pour passer les épreuves théorique et pratique au fur et à mesure que je revenais à l’école pour un nouveau stage. Au final, le diplôme, c’est un entretien oral devant un jury professionnel, validant au moins 850 heures de formation, 6 épreuves écrites et 5 séances pratiques passées, 10 études de cas fournies par matière, un projet de kinésiologie de groupe, un dossier de communication et d’installation.

EK : Quelques mots sur ton installation à Bourg-Saint-Maurice ?

M. : Je me suis installée en parallèle de mon emploi salarié, dès le printemps 2021, quand j’ai dépassé les 600 heures de formation. J’ai eu la chance de pouvoir intégrer un cabinet médical le samedi, et j’ai fait connaitre mon activité surtout en proposant des ateliers collectifs.

EK : Un mot de conclusion ? Une info à partager ?
M. : Le passage de l’examen n’est pas la fin de l’apprentissage. J’envisage de me former prochainement aux méthodes Warnke et Niromathé, pour compléter ma boite à outils professionnelle…


Retrouvez Marylène Rouhling sur :

www.kinesiologue-marylenerouhling.com

www.instagram.com/marylenerouhling_kinesiologue



Portrait chinois

Si tu étais…

Un élément : vessie (tracer son chemin, suivre ses intuitions plutôt que la vie des autres).

Une émotion : la joie.

Une couleur : le rouge.

Un animal : une lionne.

Un aliment : une banane.

 

 

Alexandre Dancet

 

 

 

EK: - Comment es-tu venu à la kinésiologie ?

A. : J’ai découvert la kinésiologie en tant que client lorsque j’étais adolescent, sur la recommandation de mon professeur de français. Ça m'a aidé à prendre confiance en moi et à mettre des mots sur mes émotions que je fuyais.
Au départ, je ne cherchais pas forcément à m’engager dans la formation complète ; j’ai suivi mon premier cours par curiosité en 2016. Je désirais savoir comment le test musculaire q
fonctionnait. J’ai découvert ue le corps a sa propre intelligence, son propre langage et qu’il pouvait m’apporter un équilibre, une harmonie, avec une multitude de possibilités. Ensuite, j’ai poursuivi la formation dans une démarche de développement personnel, jusqu’au jour où la kinésiologie m’a choisi…

EK: - Tu as donc suivi le cursus, en parallèle d’une activité professionnelle ?

A. : Oui. J'ai quitté des postes à responsabilités en tant que directeur d’hôtels-restaurants pour être plus disponible dans mon cursus. J'ai dû rééquilibrer l'ensemble de mes domaines de vie et faire des choix. Cette reconversion a été une quête en soi. Je suis devenu plus chaleureux et j’ai commencé à m'exprimer avec authenticité sans peur du regard des autres. J'ai eu la chance d’être soutenu par ma famille dans mon parcours.
Ensuite est venu un autre challenge, le temps de l'installation. J'ai trouvé un local dans une pépinière d’entreprise, où je suis resté 3 ans. J'ai trouvé ma place comme kinésiologue avec mon propre style, ma propre identité. J’ai construit de nouvelles relations professionnelles et pu promouvoir ma profession à travers des ateliers, des conférences, des salons et en intégrant des associations.

EK: - Quel est le module de formation ou la technique qui t’as le plus apporté ou inspiré, et pourquoi ?

A. : Tous les stages m'ont inspiré, et ont contribué à développer des perceptions, des filtres variés pour tisser des liens plus justes vers moi et les autres. D'ailleurs, dans mon dossier d’installation pour le passage du diplôme, j'ai décrit comment chaque module m’a fait évoluer, et comment je les combine entre eux, pour mes clients. Pour ma part, les techniques apprises ont toutes contribué à mon art : la liberté de mouvement !

EK: - Quels sont pour toi les atouts de l’école ?

A. : J’ai choisi cette école pour la clarté du programme présenté. J’y suis resté pour les fascicules synthétiques, pour l’équipe pédagogique pluridisciplinaire où chaque enseignant offre sa vision et son expérience, et pour la grande liberté de faire ce que l’on EST réellement, sans se sentir « formaté ». C’est une école qui a une forte identité, avec sa mascotte et son chiffre symbole 22, avec aussi la brioche du matin, la terrasse cultivée avec beaucoup d’amour et la vue sur le mont blanc !

EK: - Tu as passé le jury d’examen des 850 heures ; comment cela s’est-il passé ? (6 épreuves écrites, 5 séances pratiques, 10 études de cas à fournir par matière, un projet de kinésiologie de groupe, un dossier de communication et d’installation…).

A. : C’était en septembre 2019. Avec plus de 600 heures de formation, j’étais déjà installé en tant que kinésiologue, et j’ai souhaité aller plus loin. J’ai vécu le passage devant le jury d’examen comme une consécration, une victoire. Un moment magique où j’ai reconnu que mes apprentissages me permettent d’être pleinement au service de mes clients.

EK: - Quelques mots sur ton installation ?

A. : Bienvenue chez Amplitude. Mon cabinet est en face d’une jolie fontaine de la rue des Anges à Viuz-en-Sallaz en Haute-Savoie. Je propose un accompagnement innovant, intuitif et sur-mesure qui allie la kinésiologie à deux autres outils, le tarot et la bio-énergie, auxquels je me suis aussi formé. Avec cet accompagnement on peut passer un cap, incarner ses choix tout en tissant des liens plus justes avec soi-même, les autres et le monde.

Retrouvez Alexandre sur :

https://amplitudekinesio.com

www.facebook.com/amplitudekinesio

 

 

Laetitia de Montgolfier

 

 

 

EK : - Comment es-tu venue à la kinésiologie ? Qu’est-ce qui t’as donné envie de suivre un cursus de formation complet ?

L. : La kinésiologie m’a permis de travailler et transformer beaucoup de choses tout au long de ma vie. J’ai été cliente à Paris puis à Lyon. Après avoir vécu et ressenti les bienfaits de cette technique pendant plus de 10 années, devenir kinésiologue est apparu comme une évidence pour moi. À Lyon Maurice Pitt était mon kinésiologue. Et il était aussi directeur d’Espace Kinésio. La vie m’a servi mon rêve sur un plateau.

EK : - Comment s’est déroulée cette reconversion pour toi ?

L. : J’ai commencé la formation en 2016 et j’ai été diplômée en 2019. Maman de 2 enfants, salariée, je vivais en Italie à l’époque. Le rythme pour effectuer les stages dépendait surtout de mes finances du mois et du planning familial. J’ai tenu le rythme d’une cession par mois en moyenne. Ce qui était parfait, j’avais le temps d’intégrer et pratiquer un module avant de passer à un autre. L’équilibre s’est vite mis en place, pour les enfants et mon mari. Ils avaient ainsi la possibilité de créer leur relation pendant que moi je me formais et créais mon futur.

EK : - Quel est le module de formation qui t’as le plus apporté, impressionné ou inspiré ? Et pourquoi ?

L. : - « Physio-kinésio » : j’ai demandé mon mari en mariage à la suite de ce module !

- « Intuition » : j’ai accepté qui j’étais vraiment

- « EFT » : j’ai mis un point final sur beaucoup de traumas et croyances erronées.

- « Kinésiologie éducative » : j’ai ressenti et vécu les outils au plus profond de mes cellules.

Difficile de choisir le module qui m’a le plus apporté. C’est le parcours qui m’a apporté et inspiré.

EK : - La certification, c’est 6 épreuves écrites, 5 séances pratiques, 10 études de cas à fournir par matière, un projet de kinésiologie de groupe, un dossier de communication et d’installation… Qu’est-ce que cela représente ou a représenté pour toi ? Comment cela s’est-il passé ?

L. : Même si la kinésiologie n’est pas (encore) reconnue en France, la certification avec les épreuves pratiques et les études de cas sont indispensables pour moi. Au-delà de la certification, ces étapes finales représentent la maîtrise des outils, la connaissance des corps, la stature du thérapeute… C’est un vrai métier, qui est abordé et traité comme tel ici. Dans la plupart des formations, il y a des épreuves, des certifications…, c’est tout cela qui apporte une valeur professionnelle, un cadre, un investissement de la part de l’apprenant. Ce n’est pas un « loisir » de se former à la kinésiologie, c’est un métier.

EK : - Quelques mots sur ton installation ?

L. : J'ai ouvert en octobre 2020 mon cabinet à Tarnos, dans les Landes. Ma plus jeune cliente a 4 mois, le plus agé a 70 ans. Pour aller plus loin dans ma pratique, je me suis formée au Reiki. Femme, je suis devenue Moon Mother en mars dernier. C’est grâce à ces 3 approches complémentaires que je propose un accompagnement global de l'Être en séance individuelle au cabinet mais aussi en groupe collaboratif (entreprise, institutionnel, BtoC…).

EK : - Une remarque, une anecdote à partager, un message à faire passer ?

L. : Faire cette formation a été l’une des meilleures décisions de ma vie. Elle m’a permis de construire la vie que j’ai aujourd’hui. J’ai demandé mon mari en mariage, mes enfants sont conscients du pouvoir de leur corps, nous avons déménagé dans les Landes et quitté l’Italie pour suivre nos rêves. Je fais le métier que j’aime, pour lequel je suis faite. Alors MERCI. Merci aux intervenants pour ce partage de savoirs, leurs générosités, leur patience et puis merci à moi aussi d’avoir pris ce pari.

Portrait chinois Si tu étais…

Un élément : le feu, tout dans le cœur.

Une émotion : la joie (c’est la signification de mon prénom).

Une couleur : le bleu, l’océan a un pouvoir de guérison intense sur moi.

Un végétal : un coquelicot, symbole de la vie, de la plénitude et du bonheur.

Un aliment : du chocolat, parce que je ne peux pas m’en passer !

 

Retrouver Laetitia sur :

www.laetitiakinesio.net

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Aude Leclercq - Van Meerbeeck

 

 

 

EK : - Comment es-tu venue à la kinésiologie ? Qu’est-ce qui t’as donné envie de suivre un cursus de formation complet ?

A. : Je suis allée voir une kinésiologue plusieurs fois et elle m’a beaucoup aidée. J’étais intriguée par ses techniques, je n’y comprenais rien mais ça me faisait du bien. Des années plus tard, lorsque je me suis sérieusement penché sur l’idée de reconversion (j’étais contrôleuse de gestion dans des grandes entreprises puis pour une ONG internationale), j’ai choisi de me former en kinésio. Dès le premier stage, j’ai compris que c’était le bon choix. C’était en janvier 2017, le jour de mes 33 ans.

EK : - Comment s’est déroulée cette reconversion pour toi ?

A. : La première année je travaillais à temps plein alors je faisais qu’un stage par mois. Ensuite, j’ai passé un an et demi de chômage où je faisais 1 à 2 modules par mois. Et en parallèle, j’ai revu tous les modules en binôme avec une amie de cours, et petit à petit, j’ai ouvert ma pratique à d’autres.

EK : - Quels sont pour toi les atouts de l’école ?

A. : Pour moi le plus grand atout est l’organisation. On y trouve une flexibilité dans un cadre fixe. Et des cours qu’on ne trouve pas ailleurs.

EK : - Quand et comment s’est passé la certification pour toi ?

A. : Au début ça m’a semblé beaucoup de travail à fournir, entre les épreuves théoriques, les épreuves pratiques, toutes les études de cas… Et ça l’a été, mais j’ai été contente de le faire, car cela permet de bien s’approprier les différentes matières. J'ai présenté le jury en septembre 2019.

EK : - Quelques mots sur ton installation à Narbonne ?

A. : Je me suis installée dans une ville que je ne connaissais pas, alors il m'a fallu un temps d'adaptation, et ensuite est arrivée la crise sanitaire. J'ai réellement lancé l'activité en juin 2020, après le confinement.

J’accompagne principalement des adultes dans la gestion du stress et des émotions, et dans les blocages de vie, en général. Je travaille beaucoup avec l’énergétique chinoise et j’aimerais faire plus de structurel. J’ai complété la formation avec des connaissances sur le développement émotionnel du nourrisson et sur les traumatismes.

En parallèle de mes séances, j’ai un travail à temps partiel dans une association, pour faire la gestion administrative et financière.

EK : - Une remarque, une anecdote à partager, un message à faire passer ?

A. : Je pense qu’il n’y a pas une seule bonne manière de faire pour se former et pratiquer la kinésiologie. Chacun à la sienne. La seule bonne manière de faire est de suivre son cœur. « Poursuivez vos rêves, ils connaissent le chemin ».

Portrait chinois

Si tu étais…

Un méridien : le triple réchauffeur

Une émotion : la tristesse

Une couleur : le vert

Un végétal : un laurier

Un aliment : une châtaigne


Retrouvez Aude sur :

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